Sélection officielle au festival de Deauville |
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The girl next door. Code DVD-1651. Prix : 29 euro. Je
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Sélection officielle au Festival de Deauville en 2008. The girl next door est pour Stephen King “Le premier film américain authentiquement choquant depuis plus de 20 ans”. S’affranchissant de toute limite, à la manière du Salò de Pasolini, en montrant des images extrêmement crues et difficiles, The girl next door décrit le calvaire d’une jeune étudiante qui devient la victime des pulsions sadomasochistes de ses proches. La jeune étudiante est enfermée dans la cave d’une maison bourgeoise pendant des jours et des nuits afin d’être exhibée, humiliée et offerte à ceux et celles qu’elle croyait être ses amis. Suspendue par les poignets, les pieds en équilibre sur des livres retirés un par un, la jeune étudiante est déshabillée en public pour être insultée et répondre à des questions obscènes telles que “Raconte-nous comment tu te masturbes” avant de subir les sévices les plus extrêmes en restant ligotée nue debout ou en étant attachée sur un sommier à ressorts. Les anciens copains de la très mignonne étudiante libèrent sur elle leurs pulsions les plus sadiques et les plus sexuelles sans aucune retenue devant d’autres jeunes hommes et leurs copines dans des scènes quasiment insupportables (indescriptibles ici). L’intensité des punitions pratiquées sur la ravissante jeune femme totalement nue (son sexe et ses seins sont visibles) et leur contexte sulfureux font voler en éclats les tabous actuels de la société en destinant ce film à des spectateurs très avertis. Le film The girl next door est basé sur un fait divers réel, il représente comme le Salò de Pasolini une profonde réflexion sur la fin de l’innocence et notre humanité ! Le DVD vous présente The girl next door dans sa version intégrale non censurée (édition réellement intégrale sans aucune coupe ni censure) en boîtier de luxe avec un fourreau cartonné. Ce DVD est livré en 48 heures (jours ouvrables) par ZAZA et sa boutique érotique et fétichiste de DRESSEUSE Dresseuse.com en France. Origine : États-Unis. Version française et version originale non sous-titrée. Durée : 91 minutes.
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Un film avec Asia Argento |
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Les morsures de l'aube.
Code DVD-721. Prix :
29 euro. Je
commande
Depuis Le syndrome de Stendhal et cette
scène suggestive où elle mimait la sodomie
d'un de ses amants en le prenant par derrière, Asia
Argento est devenue une icône des dresseuses. Dans Les
Morsures de l'aube, Asia Argento affirme son personnage de
fille fatale intrinsèquement dominatrice. La
plastique et le jeu d'Asia Argento, tous deux exceptionnels,
méritent à eux-seuls la vision des Morsures de
l'aube, mais le film est avant tout un chef d'œuvre
cinématographique digne de Buñuel. Antoine De
Caunes signe sa première réalisation, à
la manière d'un After hours surréaliste, en
entraînant son héros (et le spectateur) vers la
quête éperdue de la mystérieuse
Violaine, Asia Argento, au cœur des nuits parisiennes.
De soirées privées en clubs sadomaso
(José Garcia dominateur rayonnant avec une soumise),
de bars branchés en exposition d'art
fétichiste, Antoine De Caunes dresse un portrait
juste (donc vitriolé) d'un Paris chic (pas si chic
que ça) où les jeunes femmes modernes se
parent de vinyl et de latex. Asia Argento, en
Maîtresse de la nuit, tend altièrement sa main
gantée à son admirateur pour qu'il l'embrasse
avec dévotion puis, dans la voiture conduite par son
frère, elle emmène l'homme chez elle pour lui
faire l'amour telle une féline prédatrice :
une scène d'anthologie. Dévoiler davantage le
scénario ruinerait votre plaisir, sachez simplement
que la visite du club sm parisien Le Roi Raoul et la
découverte des jeux qui y sont pratiqués (avec
des véritables adeptes !) vous étonneront.
Oserez-vous suivre Asia Argento dans les secrets du Paris
sadomasochiste ? Avec des dialogues taillés au laser
par Laurent Chalumeau, Les Morsures de l'aube est une
formidable adaptation du roman de Tonino Benacquista : un
vrai film onirique et fétichiste dans la
lignée des grands Buñuel. Drôle,
décapant, tentateur, sulfureux, captivant : du
cinéma ! Nous vous proposons Les Morsures de l'aube
dans sa version intégrale sans aucune coupe ni aucune
censure (il ne s'agit donc pas d'un DVD d'importation avec
des scènes retirées), et tous ses bonus.
Version française. Durée : 94
minutes.
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Hard candy. Code DVD-1088. Prix :
29 euros. Je
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Une ravissante jeune étudiante rencontre un homme mûr qu’elle a séduit sur internet, elle laisse l’inconnu l’inviter chez lui... où elle le séquestre et elle le bondage... avant de lui faire subir les pires supplices ! Avec une froideur et une cruauté apparemment sans limites, l’étudiante décide de filmer en direct la castration sexuelle qu’elle va effectuer sur l’homme ligoté et conscient afin qu’il puisse voir sur un écran de télévision comment ses testicules vont être disséqués : il s’agit là d’une des plus fascinantes scènes de sadisme féminin au cinéma ! Et l’étudiante n’est pas au bout de son imagination pour martyriser l’homme... Prix du public et Prix du meilleur film et Prix du meilleur scénario au Festival de Sitges, sélection officielle au Festival de Deauville, interdit aux moins de 16 ans lors de sa sortie dans les salles de cinéma, “Hard candy” reste un film sulfureux aux images très dérangeantes qui aborde de front plusieurs tabous rarement montrés au cinéma : “Hard candy” est donc à réserver à un public très averti. “Une œuvre virulente empreinte d’un sadisme vindicatif” : L’Écran fantastique. “Un exercice de style virtuose, mais limite malsain, qui s’appuie sur le charme vénéneux d’Ellen Page” ; Télérama. “Ce film épouvantable est un petit bijou” ; Paris Match. Origine : États-Unis. Version française et version originale sous-titrée en français. Durée : 99 minutes.
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Le déclic. Code DVD-1165. Prix :
19 euros. Je
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Un docteur sadique invente un petit boîtier radio qui permet de déclencher à distance les pulsions sexuelles de Claudia : une superbe jeune bourgeoise magistralement interprétée par la sublimissime Florence Guérin. La jolie Claudia s’adonne alors à toutes les perversions : elle se masturbe et elle s’exhibe dans une cabine d’essayage avec la porte grande ouverte avant d’offrir une fellation à genoux à un client devant toutes les clientes (!), elle convoque un domestique dans sa chambre en lui ordonnant de s’agenouiller entre ses cuisses pour lécher son sexe, elle demande à un spectateur au cinéma de l’emmener dans les toilettes pour la prendre par derrière, elle se promène nue dans la forêt en s’offrant à un homme qui la capture, elle est domptée à quatre pattes par son amant qui utilise un ceinturon en guise de fouet, elle entre nue dans une soirée mondaine... Adapté de la bande dessinée de Milo Manara, doté d’un énorme budget, le DVD “Le déclic” est un très bon film qui sait montrer des images perverses explicites tout en préservant la sensualité et l’érotisme de la merveilleusement belle Claudia. Origine : France. Version française. Durée : 81 minutes. |
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The isle. Code DVD-1087. Prix :
29 euros. Je
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Éperdument amoureuse d’un homme, une prostituée le capture en l’emprisonnant sur un petit radeau au milieu d’un grand lac. Hee-jin, prostituée, geôlière improvisée, bouche nourricière, unique contact avec le monde extérieur, espère d’abord pouvoir séduire l’homme en lui livrant des jeunes prostituées de Séoul. Cependant, le prisonnier Hyun-shik préfère s’adonner à des rituels masochistes auxquels va bientôt participer Hee-jin : les scènes effroyables des hameçons dans le sexe sont à déconseiller aux personnes non averties, ainsi que des nombreuses autres scènes difficilement supportables. Film aux images sublimement belles, “The isle” est un bijou d’une rare sensibilité qui replace la relation sadomasochiste dans le cadre de la relation amoureuse où la souffrance compense l’impossibilité de vivre avec l’être aimé. Réalisée en Corée en 2000, “The isle” est l’œuvre la plus controversée de Kim Ki-Duk car, simultanément haïe et adulée par la critique, elle pose encore une fois l’éternelle question : jusqu’où peut aller le cinéma ? Nous commercialisons un DVD d’importation qui comporte la version totalement intégrale du film (durée réelle de 89 minutes), ce DVD est destiné uniquement aux spectateurs pouvant supporter des scènes particulièrement éprouvantes. “Ici, le SM dépasse très largement le domaine de la sexualité pour nager dans les eaux troubles fantastico-érotiques de la mythologie et de la psychanalyse” ; Première. “The isle est un voyage captivant, non dénué de traumatismes, au cœur de l’origine du monde, le sexe de la femme” ; Chronic’Art. “Une fable cruelle” ; Télérama. “À la limite du soutenable” ; Ciné Live. Origine : Corée du sud. Version originale sous-titrée en français. Durée : 89 minutes. |
Le film le plus sensuel et le plus touchant de Jean-Claude Brisseau |
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Les anges exterminateurs. Code DVD-2171. Prix :
150 euro. Je
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En réponse au procès très (trop ?) médiatisé provoqué par son œuvre sulfureuse, le réalisateur Jean-Claude Brisseau a tourné Les anges exterminateurs : un merveilleux film sur la découverte et la recherche du plaisir par les jeunes femmes. Jean-Claude Brisseau plante sa caméra sobrement en proposant d’écouter des ravissantes jeunes Françaises qui décrivent sans tabous leurs jeux sexuels et, surtout, qui se masturbent avec une liberté rarement égalée : ces scènes de masturbation féminine non censurées se révèlent extraordinairement touchantes. Jean-Claude Brisseau va plus loin en dévoilant avec maestria le goût pour l’exhibition et les fantasmes lesbiens de jeunes Françaises d’une vingtaine d’années : une très jolie jeune femme se masturbe au restaurant en regardant une serveuse avant qu’une amie la rejoigne et lui retire sa culotte pour la caresser sous la table ! Les anges exterminateurs est un film unique qui révèle au grand jour les désirs troubles et les orgasmes rayonnants des jeunes femmes d’aujourd’hui, en levant d’un grand coup le voile de l’hypocrisie. Le Nouvel Observateur : “Les scènes érotiques sont vraiment splendides”. Studio magazine : “Une œuvre forte, intense, brûlante et engagée”. Télérama : “Une intensité spéciale, précieuse en soi”. Origine : France. Version française. Durée : 98 minutes.
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Evil attraction. Code DVD-1163. Prix :
19 euros. Je
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Une très jolie blonde d’une vingtaine d’années harcèle sexuellement un étudiant de la bourgeoisie en alternant la domination et la séduction. Attaché en croix sur son lit avec de la lingerie féminine, l’étudiant subit les sarcasmes de la blonde qui lui montre ses seins et qui se frotte contre lui avant de baisser son short pour le masturber devant son amant... puis la blonde et son amant abandonnent l’étudiant attaché afin qu’il soit découvert dans cette situation honteuse ! Pourtant, la blonde ne sera pas toujours dominatrice car, à l’issue d’une féroce lutte entre femmes au corps à corps, elle se retrouve attachée à genoux avec une laisse de chien en devant accepter d’offrir une relation sexuelle. La blonde vit avec sa jeune amie lesbienne qui porte un collier de cuir et leur amant commun mais, malgré tout ce qu’elle lui fait subir, l’étudiant reste amoureux de sa jolie humiliatrice blonde. Le DVD “Evil attraction” est un film au suspens tendu comme une corde raide qui vous fera frissonner... de peur ou de désir ! Origine : Australie. Version française. Durée : 77 minutes. |
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Hell. Code DVD-928. Prix : 19 euros. Je
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Dès qu’elles ont enfin atteint la majorité, les jeunes héritières de la haute bourgeoisie parisienne se lancent à corps perdu dans les soirées perverses de la jet-set. Là, au cœur du Paris secret, elles dansent lascivement en provoquant les hommes, elles découvrent des couples exhibitionnistes qui font l’amour sous leurs yeux, elles côtoient des lesbiennes impudiques, elles regardent une dominatrice qui chevauche un soumis à quatre pattes en lui donnant des claques sur les fesses devant des jeunes femmes hilares. La jeune et jolie Hell rencontre un homme qui va lui faire découvrir les plaisirs interdits lors d’une quête sans limites de sexe ou d’autres voies vers le nirvana. Et, plus d’une fois, Hell dépasse les limites en étant fascinée par son amant pervers : “Tatiana, je lui ai proposé de l’attacher au radiateur, je ne l’ai pas forcée, c’est à peine si c’est elle qui s’est attachée toute seule. On n’avait plus de cigarettes alors je suis descendu en chercher. Au tabac, j’ai croisé un pote, il partait à Deauville. J’y suis resté tout le week-end. Tout s’est bien fini, la bonne a retrouvé Tatiana le lundi et elle l’a détachée”. La jeune Sara Forestier interprète à la perfection le rôle de Hell en n’hésitant pas à se dénuder face à la caméra. Le réalisateur Bruno Chiche a adapté le texte sulfureux de Lolita Pille en osant montrer aux spectateurs des nombreuses scènes particulièrement tabous sans les censurer. Paris Match : “Dérangeant mais fascinant”. Le Parisien : “Sara Forestier réussit à s’imposer en jeune fille des quartiers chics qui succombe aux jeux de l’amour et de la nuit”. Studio : “Un couple de cinéma aussi intense que poétique”. Attention : ce film ne convient pas à toutes les sensibilités. En bonus : un reportage sur le tournage du film. Origine : France. Version française. Durée : 94 minutes. |
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Under the skin. Code DVD-986. Prix :
19 euros. Je
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Comment une adorable jeune femme d’une vingtaine d’années peut-elle devenir une soumise transformée en simple toilette par un homme pervers ? La réalisatrice Carine Adler dresse un portrait sensible d’une ravissante Anglaise tout juste majeure civilement mais qui porte encore en elle les recherches existentielles de l’adolescence : Iris. Et Iris bascule dans une quête effrénée de sexe à la suite d’un décès familial. En minijupe et en manteau ultra-court, habillée “comme une pute” selon les termes de sa meilleure amie, Iris erre de bars en clubs à la recherche d’inconnus qui vont la “baiser” pour une nuit. Provoquer les érections de tous les mâles à chaque instant semble être le seul but de vie d’Iris : elle aborde un spectateur dans un cinéma pour l’emmener dans son lit, elle murmure des obscénités au téléphone à un amant afin qu’il se masturbe, elle couche avec le mari de sa sœur... Finalement, la mignonne Iris est dominée par un Maître qui lui bande les yeux et l’allonge par terre avant de se soulager sur elle en l’aspergeant avec ses jets dorés ! La jeune actrice qui interprète le rôle d’Iris joue sans aucune pudeur les scènes les plus crues en n’hésitant pas à se dénuder et à se faire arroser devant la caméra ! Dans la veine réaliste de réalisateurs tels que Ken Loach, “Under the skin” est un film britannique magnifique salué par la critique : “Ce miracle est le travail de Carine Adler dont c’est le premier film”, The Guardian. Une œuvre subtile et touchante. Les Éditions Zaza distribuent en DVD la version intégrale du film sans aucune censure (il ne s’agit donc pas d’un DVD d’importation). Origine : Angleterre. Version originale sous-titrée en français. Durée : 80 minutes. |
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Lila dit ça. Code DVD-1017. Prix :
19 euros. Je
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Lila est une jeune étudiante ravissante. Lila ne porte pas de culotte sous sa jupe. Lila aime montrer sa “chatte”. Dans un square, Lila aborde un inconnu :
- T’as pas envie de voir ma chatte ?
- Oui, je veux la voir.
- Longtemps ou pas longtemps ?
- C’est quoi la différence ?
- Pas longtemps, je soulève ma jupe, j’ai rien dessous. Longtemps, c’est sur la balançoire.
Lila n’a pas froid aux yeux. Lila adore s’exhiber. Lila fait du cyclomoteur sans culotte en dévoilant son sexe nu. Lila s’assoit dans un fauteuil en écartant les cuisses pour qu’une spectatrice puisse admirer sa “friandise”. Lila se fait caresser les fesses par un jeune homme dans un jardin public. Lila masturbe son amant en plein jour dans la rue sans se soucier des passants. Lila provoque en permanence le désir des hommes : “T’as remarqué ma bouche comme elle est minuscule, c’est incroyable qu’une si petite bouche puisse enfiler une si grosse queue”. Lila a le fantasme de “baiser avec 100 mecs”. Lila s’est inscrite à un casting de film porno amateur. Parfois, Lila monte dans une voiture de luxe grise et elle quitte le quartier pour gagner son “argent de poche”. Quel est le secret de Lila ? Le réalisateur Ziad Doueiri raconte avec une sensibilité et une sensualité extrêmes les émois érotiques d’une jeune étudiante d’aujourd’hui. Lila la douce est amoureuse d’un bel étudiant pour lequel elle est prête à toutes les perversions. Lila la tentatrice est considérée comme un simple objet sexuel par une bande de voyous... dont une des distractions consiste à pénétrer l’un après l’autre la même hôtesse d’un bar à Champagne ! La justesse de ton et la beauté rayonnante de Vahina Giocante sont envoûtantes, la jeune actrice confère au personnage de Lila la spontanéité naturelle d’une jeune femme heureuse de s’offrir aux regards et aux jeux vicieux les plus troublants. “Filmé avec légèreté et sensualité” : Rolling Stone. “Vahina Giocante, mélange troublant de sensualité, de provocation et d’innocence, magnétise la caméra de Doueiri” : TéléCinéObs. “Un conte érotique, jamais vulgaire, porté par l’incandescente Vahina Giocante” : Paris Match. “Doueiri traduit, avec sensibilité, cette histoire d’amour tragique, au verbe très cru, particulièrement bien interprétée par Vahina Giocante, follement sensuelle” : Le Figaroscope. “Vahina Giocante dégage une aura si incroyable” : Score. “Lila dit ça” est un film érotique magnifique aux images sublimes. Une merveille. Origine : France. Version française. Durée : 89 minutes. |
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Choses secrètes. Code DVD-929. Prix : 29 euro. Je
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Après avoir été renvoyées d’un bar à hôtesses, deux jeunes femmes ont décidé de manipuler les hommes en utilisant leur pouvoir de séduction. Elles commencent par s’entraîner à “oser”. Première leçon : la brune ordonne à la blonde de se déshabiller et de se masturber devant elle. Première sortie : les deux amies retirent discrètement leurs soutiens-gorge dans une station de métro, puis la blonde glisse sa main sous sa jupe pour se masturber devant un voyageur. Ensuite, presque naturellement, elles vont se promener dans Paris en étant nues sous leurs imperméables. Sandrine et Nathalie sont alors prêtes : le jeu machiavélique avec les mâles débute ! Un cadre supérieur sera leur cible, elles le mèneront par le bout de la cravate en utilisant tous leurs charmes jusqu’à ôter une petite culotte dans son bureau ou lui faire l’amour ensemble. Mais Jean-Claude Brisseau, le réalisateur, introduit un élément perturbateur qui va révéler la fragilité des sylphides. Le riche héritier d’une grande fortune manipule celles qui voulaient être manipulatrices, il s’amuse ainsi à leur ordonner d’aller se caresser dans les toilettes d’un restaurant. Et l’homme, libertin et pervers, exigera toujours plus de Sandrine et Nathalie... jusqu’à les faire participer à une orgie sexuelle en compagnie de femmes soumises. Avec “Choses secrètes”, Jean-Claude Brisseau conte l’histoire de Sandrine et Nathalie en soulignant la tendresse et l’humanité de ses héroïnes : deux jeunes femmes perdues n’ayant comme seul repaire que leur amitié. Les deux talentueuses actrices à l’interprétation excellente, Coralie Revel et Sabrina Seyvecou, confèrent à l’œuvre une flamboyante sensualité. Il faut noter que les deux jeunes et jolies actrices ont oser se mettre totalement nues et s’adonner explicitement aux scènes les plus crues comme leur torride relation lesbienne face à un voyeur. Le réalisateur peut grâce à elles dresser le portrait sensible d’une quête féminine effrénée dont la véritable nature s’avère finalement être l’amour. “Choses secrètes” est beaucoup plus qu’un film incontournable pour tous les adeptes de l’exhibition, il est aussi une ode au pouvoir érotique des jeunes femmes d’aujourd’hui. Captivant. TéléCinéObs : “Choses secrètes redistribue les cartes du vice et de la vertu avec un élan où passe le souffle du sacré”. Les Inrockuptibles : “Pour la première fois, Jean-Claude Brisseau filme le sexe de manière frontale”. Libération : “Un des rares cinéastes à oser filmer ses fantasmes et ceux des autres sans distance, sans précaution et avec franchise”. Origine : France. Version française. Durée : 111 minutes. |
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Fin août, début septembre. Code DVD-1191. Prix :
29 euros. Je
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Parce que l’homme qu’elle aime lui refuse la vie commune, une jeune Française s’abandonne aux plaisirs de la soumission avec un Maître dans un très chic appartement parisien. Le Maître fait danser la jeune soumise avant de la déshabiller, il la fait marcher à quatre pattes en la tirant par les cheveux, il l’offre nue à un inconnu en lui ligotant les mains dans le dos... Après la séance, le Maître et la soumise discutent avec une sincère complicité car la soumise avoue “J’aime comme tu me prends” en ajoutant “Des fois, j’ai pas envie qu’on me respecte, ça m’emmerde, je veux dire sexuellement” mais la mignonne soumise est inquiète car elle pense connaître l’inconnu qui vient de participer à leurs jeux sadomasochistes. Réalisé par Olivier Assayas avec Virginie Ledoyen et Jeanne Balibar, “Fin août, début septembre” est un film choral sur les amours et les désamours de couples d’aujourd’hui dont les relations franchissent parfois certains interdits. Loin d’être uniquement consacré à la domination, “Fin août, début septembre” explore avec maestria les étranges voies du désir entre les hommes et les femmes. Excellent ! “Olivier Assayas a trouvé l’approche la plus pertinente qui soit pour capter le désarroi, les incertitudes et la fragilité de personnages très contemporains” : Télérama. Origine : France. Version française. Durée : 112 minutes. |
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