Une femme payée pour être soumise

La croix de Saint-André. Code BOO-187. Prix : 15 euro. Je commande
Après de nombreuses années de vie amoureuse, Henry se retrouve soumis à celle dont il pensait avoir fait la conquête. Lorsqu'elle l'abandonne, Henry met à profit les enseignements de cette relation pour inverser les rôles... et devenir dominateur. Jacques Myrat, l'auteur, livre sans tabous un récit romancé articulé autour d'expériences authentiques. Ainsi le parcours du héros lève (en partie) le voile sur les pratiques de la domination tarifée et sur les jeux des clients, qu'ils soient soumis ou dominateurs. Bénéficiant d'une belle plume fluide, La croix de Saint-André dépeint avec réalisme les plaisirs sulfureux de jolies Françaises... pourtant en apparence si innocentes. Morceau choisi : "- Voilà ! C'est bien cela. Va faire ta quête. Toujours à quatre pattes, elle se dirige vers un coin de la pièce où est placé un petit panier d'osier blanc. Elle prend l'anse entre ses dents et s'avance vers les invités. Ils sourient devant la démarche saugrenue, mettent la main à leur poche. Les conditions étaient fixées à l'avance. L'un d'eux, un nouveau, doit se lever et aller jusqu'au vestibule où il a laissé sa veste. Chacun pose dans le panier présenté les billets de sa participation et elle revient vers le coin de la salle où elle dépose tout. - Tu es contente, maintenant ? - Oui, Maître. - Montre-nous que tu es contente. Toujours dans la même position, elle agite longuement sa croupe comme un véritable chien exprimant sa satisfaction. Tout le monde rit de bon cœur. - Mes amis, elle est à vous. Servez-vous. Sans attendre davantage, elle s'approche du premier invité, s'accroupit entre ses jambes, ouvre le pantalon. Elle prend le sexe entre ses doigts, le porte à sa bouche et commence une lente fellation. À côté d'eux, le deuxième convive se caresse depuis un long moment en regardant le dressage." Éditions Bruno Leprince. 172 pages.

Les yeux bandés. Code BOO-274. Prix : 15 euro. Je commande
Elle se définit elle-même comme une esclave, " Je n'aime pas beaucoup le mot soumise ", elle est Française, elle se nomme Alexa Kane et elle vient de rédiger son autobiographie : Les yeux bandés. Qui est Alexa Kane ? Alexa Kane est une de ces jeunes femmes qui se cache derrière le pseudonyme d'un adorable tchat fétichiste. Avec une réelle sincérité de cœur, Alexa Kane raconte sa rencontre avec un Maître sur un tchat fétichiste puis ses premiers ordres suivis de ses premiers pas dans la soumission jusqu'à ce qu'elle soit devenue aujourd'hui une "esclave" accomplie comme dans Histoire d'O, son roman adoré. Dans Les yeux bandés, Alexa Kane décrit sans gêne sa soumission au jour le jour : sa docilité sexuelle, ses punitions, ses exhibitions devant des Maîtres ou des Maîtresses, l'apprentissage des quatre positions de la soumise, ses nuits avec un gode anal, ses séances en compagnie de couples et de soumises, le port d'un plug... Alexa Kane vous offre le récit d'une soumission heureuse, riche d'émotions, d'attente, de moments de bonheur, de jouissance et, surtout, d'amour. En employant une plume vive et directe, introspective et légère, comme si elle rédigeait une encyclique de la soumission féminine, Alexa Kane dévoile son plaisir d'obéir à l'homme qu'elle aime au sein d'un texte passionnant : Les yeux bandés. Maintenant à vous de découvrir les désirs, les jeux, les passions qui naissent lors des rencontres sur un tchat fétichiste. Un récit adorable. Morceau choisi : "Il fit démarrer la voiture, passa sa main sous ma jupe pour vérifier si j'étais bien comme il m'avait ordonné d'être. Il écarta ma cape, passa aussi sa main sur mes seins, je ne pus me retenir de gémir. Il mit son doigt dans ma bouche. Aussitôt, comme la première fois, je le suçais. Il me demanda si j'étais déçue de le voir, je répondis que non, qu'il était beau, qu'il était tel que je m'attendais à ce qu'il soit. Il trouva la réponse satisfaisante. Il me demanda si j'avais mon collier, je desserrai le foulard que j'avais autour du cou, il vit mon collier. Sur son ordre, je pris la laisse dans mon sac pour l'attacher au collier. Il me donna deux bracelets de cuir noir que je nouais à mes poignets sur ses indications. Ma tension monta encore d'un cran. Nous parlions à peine, je ne posais aucune question, je savais juste que nous allions dans la grande banlieue. De temps en temps, il passait sa main entre mes jambes, attrapait mon sexe qui était trempé, je gémissais. Il s'arrêtait toujours quand il sentait que ma jouissance montait trop." Éditions Bruno Leprince. 186 pages.

Sad Club 2. Code BOO-283. Prix : 25 euro. Je commande
À 25 ans, Joanna fréquente assidûment un club sadomasochiste baptisé le Sad Club. Un soir au Sad Club, alors que Joanna espère satisfaire un Maître, la jeune Française fait la connaissance d'une envoûtante Maîtresse. Joanna découvre cette nuit-là qu'elle aime être dominée par des hommes... et par des femmes ! Joanna s'abandonne à l'emprise perverse de sa nouvelle Maîtresse. Sous la forme d'un livre illustré à mi-chemin entre la bande dessinée et le roman, "Sad Club 2" dresse un portrait de la soumission féminine proche de l'univers de Georges Pichard. Depuis Pichard, aucun auteur n'avait osé représenter des femmes soumises avec des dessins aussi explicites et aussi puissants : rien ne sera épargné à Joanna et à ses consœurs soumises ! Les punitions les plus extrêmes et les plus vicieuses se succèdent dans un déchaînement pasolinien évoquant une nouvelle Salò. Chaque description d'une séance qui semble indescriptible prend vie sous la forme d'une incroyable illustration au trait. L'éducation d'une soumise atteint ici un paroxysme d'intensité sadomasochiste rarement représenté auparavant ! Avec 29 dessins pleine page en noir et blanc, avec des textes réellement sm sans tabous, avec le format d'un album de bandes dessinées, "Sad Club 2" est un ouvrage sm destiné uniquement à un public de connaisseurs très avertis... car la quête de Joanna vers une soumission totale s'avère le plus époustouflant des périples ! Morceau choisi : "Un mois plus tard, quand elle se présenta à la porte de la maison de Neuilly, elle trouva la propriété désertée à l'exception de l'esclave. Celle-ci, dans la même tenue succincte habituelle, lui remit un pli de la part de sa Maîtresse et, sans autre explication, lui referma la porte au nez. Le message de la Maîtresse, très bref, lui ordonnait en termes impérieux de faire un choix de façon définitive et, sans plus tarder, d'user des billets d'avion, de train et d'autobus joints afin de venir la retrouver dans une petite localité. Sinon, elle n'avait qu'à glisser les billets dans la boîte aux lettres et oublier jusqu'à son existence. Joanna prit sa décision sur l'heure, enfouissant message et billets dans son sac à main. Le lendemain, elle prit ses dispositions pour une absence prolongée." 64 pages grand format.

Brûlure. Code BOO-210. Prix : 79 euro. Je commande
Cléa Carmin est le pseudonyme d'une journaliste suisse. Elle a rédigé "Brûlure", un roman d'amour passionné où une femme vit des plaisirs teintés de soumission avec son amant. Le roman est un récit de fiction qui ne décrit pas des jeux vécus par Cléa Carmin mais qui se fonde sur une expérience autobiographique vécue par Cléa Carmin. "Brûlure" ne doit donc pas être considéré comme un récit autobiographique mais bien comme un roman sous influence autobiographique. Cléa Carmin, l'auteur, et Cléa Carmin, le personnage du récit, ne qualifient pas leur rôle sous le terme de soumise en refusant une telle catégorisation même si les plaisirs décrits s'inscrivent effectivement dans l'univers de la soumission érotique. Enfin, il convient d'indiquer que le titre "Brûlure" ne reflète aucun jeu sexuel figurant dans le livre : il s'agit d'une métaphore. Ces précisions apportées, le lecteur comprendra que "Brûlure" s'éloigne du manichéisme pour tendre vers l'amour et ses paradoxes. "Brûlure" est un ouvrage important qui offre le témoignage flamboyant de plaisirs sensuels nimbés d'une soumission érotique... désirée par une femme. Faites fi des romans initiatiques et des récits dogmatiques, Cléa Carmin vous délivre avec "Brûlure" un message simple d'amour et de passion féminine. "Brûlure" raconte l'histoire d'une femme et de son amant, de leurs jeux érotiques sans cesse renouvelés, de l'attente entre chaque défi sensuel, de l'émoi mutuel qui les unit et les réunit, encore et encore, puisque qu'ils sont amoureux l'un de l'autre. "Brûlure" s'avère un livre très féminin avec un sens du toucher, des odeurs, des manières, de la lumière... La lectrice - ou le lecteur - se sentira immédiatement très proche de l'héroïne dans sa manière de penser, de se comporter, de ressentir et d'interpréter ce qu'elle vit. Soutenu par une plume subtile, "Brûlure" s'avère romantique tout en réussissant à décrire des jeux amoureux peu conventionnels. Éditions Blanche. 140 pages. Lisez l'interview de Cléa Carmin et admirez ses photos dans Dresseuse numéro 24.

Divine Maîtresse. Code BOO-280. Prix : 9,50 euro. Je commande
Rédigé à la première personne, Divine Maîtresse est un ouvrage, il faut l'avouer, extrêmement intense. La narratrice va avoir 23 ans lorsqu'elle écrit ce récit, elle se fait appeler Llama, elle décrit comment elle a accepté de vivre dans un état de soumission sexuelle permanente par amour pour son amant. Llama raconte avec une franche impudeur son étonnant parcours d'initiation à l'obéissance totale. Les exhibitions se succèdent dans une voiture, dans une toilette pour hommes, dans un restaurant, dans une boutique, sur le trottoir, mais ces exhibitions où Llama doit montrer docilement son sexe nu ne sont en fait que des préludes à l'acte de dévotion ultime : Llama doit s'offrir aveuglément à des inconnus ! Llama nourrit son amour du concert des attentions tendres et des punitions honteuses de son amant telles que la fessée au bord d'une route ou le fouet en public ! Llama accepte finalement que son amant la confie à des Maîtresses lors d'un incroyable stage de soumission où l'alternance des humiliations et des sanctions sévères infligées par les dominatrices feront d'elle une O moderne : une jeune femme irrévocablement dévouée à son Maître. S'il se fonde sur un véritable vécu, le livre attesterait de l'existence d'un ou plusieurs vastes domaines sadomasochistes aux abords de la frontière espagnole. Là, dans ces antres sulfureux aux noms révélateurs comme la Chambre des délices ou le Salon des saillies, des Maîtresses prendraient en main la formation de soumises. Fantasme ou réalité ? À vous de juger. La précision quasi journalistique de certains passages de l'ouvrage peut conforter les propos de l'auteur tandis que des chapitres entiers semblent être simplement les fruits de son imagination débordante. Ce texte sm sans tabous frise parfois l'insoutenable, il doit donc être réservé à un lectorat très averti. Douze illustrations sm explicites réalisées par Llama complètent son récit car elle n'hésite pas à se mettre en scène pour raconter sa vie de soumise... si celle-ci n'est pas la pure invention d'une jeune femme aimant rêver avec une plume ! 150 pages. Morceau choisi : "En tout, une quarantaine de clients, dont un tiers de femmes qui, pour la plupart, m'avaient lancé des regards critiques ou franchement réprobateurs en me voyant aussi court vêtue. On nous avait installés et nous avions commencé à dîner lorsque, soudain, Vicente m'ordonna de m'exhiber et de me caresser ostensiblement entre les cuisses. - Mets-toi un peu de biais, écarte les jambes et, tout en continuant à tenir ta fourchette de la main droite, caresse-toi la chatte de l'autre. En même temps, fais en sorte de fixer tour à tour les hommes qui sont seuls. Je le fis comme il voulait sans émettre aucun commentaire".

Osez... tout savoir sur le SM. Code BOO-236. Prix : 7 euro. Je commande
En 110 pages alertes, Gala Fur réussit le tour de force de rédiger un ouvrage abordable riche d'informations dédramatisées et de conseils de bon sens pour... tout savoir sur le SM. Le livre "Osez... tout savoir sur le SM" est un véritable petit manuel pratique pour les personnes qui souhaitent découvrir le sadomasochisme ou approfondir leur expérience sur ce thème : un guide du SM. L'auteur, Gala Fur, se situe à 100000 lieux d'une médiatisation du sadomasochisme sous des formes présentées comme scandaleuses. Au contraire, Gala Fur réalise une approche lucide, simple mais érudite, compréhensive et pédagogique pour rédiger un véritable manuel du SM. "Osez... tout savoir sur le SM" évite l'écueil du prosélytisme pour se contenter d'expliquer la genèse du plaisir sadomasochiste. Alors, évidemment, le sadomasochisme ainsi décomplexé dévoile ses attraits dans ce guide de la domination. Tout au long des 12 chapitres (les fantasmes, les rôles, comment faire des rencontres, la relation suivie, les scénarios du désir, la séance...), Gala Fur traite sans tabous chaque sujet en le rendant immédiatement intuitif et, donc, réalisable : un vrai manuel de domination. La justesse du livre, authentique guide de la soumission et de la domination, résulte évidemment de la personnalité de son auteur, Gala Fur étant elle-même une authentique Maîtresse parisienne et une journaliste de renom. "Osez... tout savoir sur le SM" s'affirme comme un ouvrage de choix, un manuel de la soumission et de la domination, qu'il convient de suggérer à celles et à ceux qui souhaitent mieux connaître l'univers sensuel et fascinant du sadomasochisme... et, pourquoi pas, le goûter. Morceau choisi : "Multipliez les mises en bouche au gré de votre fantaisie : des pinces sur les seins " pour que tu te sentes motivé(e) ", une plume entre les fesses " tu seras puni(e) si tu la lâches ", etc. Les préliminaires que vos amant(e)s négligent parfois seront ainsi accomplis sous vos directives. Vous aurez tout le loisir de mener votre partenaire vers la perfection sans entendre " Ça te plaît, comme ça ? " ou bien " Dis, si on faisait l'amour maintenant ? ". Parole de Gala, vous vous en donnerez à cœur joie !" Éditions La Musardine. 110 pages.

Les chaînes de la liberté. Code BOO-196. Prix : 18 euro. Je commande
Isabelle, 35 ans, a atteint tous les objectifs qu'elle s'était assignée pour réussir. Directrice d'une agence de publicité, Isabelle rencontre Louis, décorateur, esprit libre et transgressif. L'homme, devenu l'amant d'Isabelle, va peu à peu lui faire découvrir une autre facette de sa féminité dans une situation d'obéissance fusionnelle. Isabelle s'abandonne à un univers de plaisirs insoupçonnés. Sous la plume d'Isabelle Jacob, "Les chaînes de la liberté" est un roman d'initiation bénéficiant d'un style très américain, à la manière de "The General's daughter," direct, rythmé, efficace. D'ailleurs "Les chaînes de la liberté" pourrait presque être un prologue à "The General's daughter" ("Le déshonneur d'Elisabeth Campbell"), tant il décrit avec justesse la double vie d'une femme : femme d'affaires désirable et altière en public, femme soumise pour son accomplissement en privé. Le roman est paradoxalement masculin dans son écriture (implacable) et féminin dans sa sensibilité (à fleur de peau), l'ambivalence structurelle du récit le rendant absolument captivant : on ouvre "Les chaînes de la liberté" et on le referme 2 heures plus tard, sans avoir pu corner une seule page. Cependant, la qualité essentielle du roman d'Isabelle Jacob consiste à décrire une soumission féminine amoureuse, respectueuse dans ses excès, douce dans ses contraintes, excitante dans ses humiliations, voluptueuse dans ses liens. Parfait ! Editions Bruno Leprince. 254 pages.

Les liens du plaisir. Code BOO-253. Prix : 18 euro. Je commande
Avec "Les liens du plaisir", Isabelle Jacob donne une suite à son premier ouvrage "Les chaînes de la liberté". Le récit raconte comment l'héroïne, Isabelle, va peu à peu devenir la Maîtresse d'une jeune femme de 32 ans, Géraldine. Isabelle, pour avoir déjà été soumise, guide avec intelligence Géraldine vers l'obéissance... et Géraldine accepte chacune des exigences : la destruction de toute sa lingerie et de ses pantalons, le port quotidien d'un plug anal, les exhibitions nue, les punitions à la cravache. Grâce aux confrontations des expériences d'Isabelle et de Géraldine, Isabelle Jacob décrit simultanément les pratiques d'une soumise épanouie et l'initiation d'une novice à la soumission. Le roman alterne sans cesse la fiction et la réalité en s'ancrant sur des véritables personnages et des véritables soirées de la sphère sadomasochiste parisienne. Ainsi, l'auteur emploie une forme quasi autobiographique particulièrement troublante qui souligne le fabuleux plaisir des femmes à vivre leur soumission. "Les liens du plaisir" prendra naturellement sa place dans votre bibliothèque aux côtés d'" Histoire d'O ", derrière une porte vitrée fermée à clé car ce livre intense se doit d'être réservé à un lectorat averti. Morceau choisi : "Obsédé des dilatations, Luc lui avait demandé de se procurer des plugs, des sexes artificiels dont la forme permettait de les garder longuement, afin qu'elle s'élargisse ainsi le cul et le sexe. Sur mes conseils, il lui demanda d'abord de dormir avec, ce qu'elle fit, et ce dès la première nuit. Au réveil, elle se précipita sur sa machine pour m'envoyer un message de bonheur, m'expliquant qu'elle n'avait jamais si bien dormi, que cette nuit-là où elle était remplie. Sur les ordres de Luc que j'influençai, elle se mit à vivre remplie jour et nuit en permanence, même pour aller travailler. L'imaginer ainsi sous sa jupette, les fesses à l'air, l'anus rempli d'un profond plug noir était délicieux. Elle m'avoua vite ne plus pouvoir s'en passer. Je lui recommandais alors de surprendre son maître et d'en acheter un plus gros encore pour continuer le travail". Éditions Bruno Leprince. 204 pages.

Les soumissions de Sabine. Code BOO-281. Prix : 19 euro. Je commande
Sabine est Française, Sabine a 25 ans. Sabine vous raconte le parcours érotique qui l'a conduit à devenir une soumise dans un surprenant texte autobiographique "Les soumissions de Sabine". Au sein de l'ouvrage, Sabine rédige et publie son contrat de soumission : un incroyable témoignage d'amour et de dévotion ! L'histoire de Sabine commence par une amitié avec sa collègue de travail Marie-Paule, 30 ans, soumise à son mari. Marie-Paule présente Sabine à Gérald, un de ses amis dominateurs. Sabine tombe amoureuse de Gérald et elle accepte de devenir sa soumise. Sabine décrit comment elle adore de plus en plus profondément des situations d'obéissance qu'elle considérait immorales. Sabine goûte aux délices de l'exhibition dans des lieux publics, que ce soit sur son balcon, dans l'escalier de son immeuble, à l'intérieur des toilettes d'un restaurant, ou au milieu de la rue ! Un beau jour, au début d'un chemin de campagne, Gérald demande à Sabine de sortir de sa voiture et de se dénuder, puis Gérald menotte les mains de Sabine et il l'envoie nue dans une demeure où elle devra apprendre les codes de la soumission en compagnie de Marie-Paule. À la manière d'une "O" contemporaine, Sabine offre au lecteur le récit sans tabous de ses jeux les plus extrêmes et de ses émotions les plus secrètes. L'intensité de certaines séances réserve "Les soumissions de Sabine" à un lectorat très averti. 140 pages. Morceau choisi : "La rue dont j'ignorais le nom était toujours déserte et personne n'aurait pu imaginer la scène qui s'y était déroulée quelques heures plus tôt. Une aube sale et ruisselante commençait à grisailler le ciel. - Maintenant, le coup de l'étrier, dit Gérald. Il déverrouilla les portières de la Jaguar, ouvrit celle du passager avant, m'enleva mon manteau, le jeta à l'intérieur et referma. Nue sous la pluie glaciale, il me fit me placer devant la voiture, écarter les jambes, incliner le buste en avant et m'appuyer des deux mains sur le capot. Puis, venant derrière moi, il m'arracha une longue plainte rauque en me sodomisant d'un coup".

Osez... le bondage. Code BOO-263. Prix : 7 euro. Je commande
Voici enfin le guide pratique que vous attendiez sur l'art du bondage ! Que vous soyez une Maîtresse ou un Maître, une soumise ou un soumis, Osez... le bondage s'avère un ouvrage indispensable pour découvrir dans les meilleures conditions les plaisirs des liens. Axterdam a rédigé un extraordinaire manuel de bondage avec des explications pas à pas illustrées par plusieurs dizaines de dessins très clairs pour savoir comment placer et nouer les cordes sur les corps nus. Le livre aborde : les bondages de base et les bondages élaborés (le bondage des seins, le diamant Kikkou, l'Ashitote Musubi, le Gyaku-Ebi), les nœuds essentiels (le nœud plat, le nœud de sécurité, le double 8), le matériel de bondage (cordes, foulards, menottes), les accessoires d'immobilisation (la chaise, le lit, l'arbre, l'escalier), les scénarios de soumission (la levrette permanente, le mâle-pot, l'offrande du pubis)... mais, loin de se limiter au seul aspect ludique, Osez... le bondage propose également une histoire du bondage, des témoignages d'adeptes du bondage, une approche du bondage avec votre partenaire, l'étude des sensations procurées par le bondage et - le plus important - les règles élémentaires de sécurité lors d'un bondage. Les bondages présentés sont destinés aussi bien aux femmes qui souhaitent être attachées par leur Maître qu'aux hommes qui aiment être ligotés par une dominatrice. Alors, avec Osez... le bondage, Axterdam a réalisé un petit livre précieux dont la lecture se doit d'être impérativement recommandée avant le début de vos jeux. Parfait. Morceau choisi (extrait du récit d'une soumise) : "L'homme ne disait rien, ne bougeait pas. Il contemplait le spectacle. Il s'est approché et m'a dit des paroles apaisantes. Pendant des heures, ses mains ont caressé mes seins, mon ventre, mon sexe. Il a posé sa bouche sur tout mon corps, il me disait des mots tendres, que j'étais belle. J'étais bien. Mes bras, mes jambes me faisaient mal, mais je ne saurais dire le plaisir que j'avais d'être ainsi immobilisée, soumise entièrement à cet homme." 160 pages.

Cécile. Code BOO-237. Prix : 13 euro. Je commande
Cécile a 25 ans, elle est mariée à un homme de 45 ans trop occupé par ses affaires, elle mène une vie riche et oisive. Jolie blonde aux yeux bleus, mince, Cécile abuse de son charme pour conquérir des hommes. Mais lorsque son mari la surprend en compagnie d'un amant, Cécile n'a aucun autre choix que celui d'accepter d'être reprise en main dans un institut très spécial où on lui enseignera l'obéissance. Avec un langage direct, Audrey Kaplan décrit méthodiquement le parcours d'apprentissage subi par Cécile. La jeune Française découvre jour après jour les étranges vertus des châtiments corporels, de l'humiliation et de nombreuses expériences sexuelles poussées. Pourtant, l'état de soumission totale auquel aboutit Cécile fait naître en elle une nouvelle envie : devenir dominatrice. Cécile finira par contrôler les affaires de son mari en disposant d'un cheptel d'esclaves avides de satisfaire ses moindres exigences perverses. L'auteur de “Cécile” dirige une société de services, elle offre dans son récit écrit à la manière d'une autobiographie un florilège de fantasmes érotiques rarement avoués par les femmes. En racontant crûment des jeux particulièrement intenses, “Cécile” se doit d'être réservé à un lectorat averti mais, à l'image d'“ Histoire d'O ”, Audrey Kaplan souligne dans son roman l'ambiguïté du désir féminin confronté à la découverte de la domination. L'institut où se retrouve Cécile ne serait-il pas indiciblement tentateur ? Morceau choisi : "C'est Nora qui m'apporte le petit-déjeuner : une grande écuelle de café au lait contenant des céréales, qu'elle pose naturellement par terre, me laissant me débrouiller toute seule. Comme la veille, je dois manger à quatre pattes, le cul en l'air. Je suis mortifiée, mais j'ai très faim et ce matin c'est bon. Je lape l'écuelle jusqu'au fond, finissant avec le visage tout barbouillé..." Éditions Bruno Leprince. 124 pages.

Captive. Code BOO-257. Prix : 15 euro. Je commande
Il s'agit d'un roman d'une infinie pureté. Il s'agit d'une histoire d'amour écrite à la première personne telle une autobiographie. L'héroïne, aux antipodes de la soumission, est la Maîtresse d'une relation passionnée où elle se donne entièrement à un homme... en lui donnant tout ce dont un homme peut rêver : le plaisir, la complicité, la tendresse, son corps, une autre femme ! Après son premier ouvrage poignant “De l'aube à la nuit”, Valérie Boisgel rédige avec “Captive” un texte érotique envoûtant où sa plume sublime emmène le lecteur au firmament de la volonté d'une femme ; l'amour total. L'héroïne s'offre avec envie dans des lieux publics, obéit sans hésitation à un inconnu, livre les confins de son être aux inquisitions de son amant, accomplit avec lui un voyage vers une fusion charnelle touchante de bonheur. Et la fin abrupte, témoignage de l'éternelle dichotomie entre l'homme et la femme, incitera le lecteur à une véritable remise en question. Encyclique de l'amour et de la passion, comme autant de pages définissant le mot liberté pour ses lectrices, “Captive” s'avère un roman essentiel. Une merveille. Morceau choisi : "Vous me demandez de me mettre à quatre pattes. Comme une chienne. J'évolue ainsi un long moment. Je devine votre regard dans la fente de mes fesses. Je creuse bien les reins. Mes hanches ondulent à chaque pas. Vous devez voir mes lèvres dodues, mon trou noir. - Ne bouge pas. Reste comme ça. Vous venez derrière moi. Votre main flatte ma croupe. Vos doigts glissent entre mes fesses, descendent dans les poils. Vous me caressez. - Donne-lui la fessée qu'elle mérite. Vous êtes assis au bord du lit pour tout voir. L'homme-invité se penche, commence doucement à frapper mon derrière qui s'esquive sous les coups de plus en plus forts. Les mouvements provoqués doivent cacher et dévoiler mon œillet noir. Mes bras s'affaissent. Mes hanches proéminentes, creusées par la guêpière serrée autour de ma taille. Je gémis à chaque coup infligé. La punition s'arrête. Les fesses en feu, l'homme-invité les caresse doucement. Vous avez glissé votre main sous mon ventre, recueillez ma sève blanche." Éditions Blanche. 138 pages.

L'amante. Code BOO-217. Prix : 16 euros. Je commande

Succession de 64 courtes nouvelles, "L'amante" s'apparente davantage à un "répertoire" - selon le terme de l'auteur - de jeux pour une soumise. Gilles de Saint-Avit décrit avec méticulosité 64 petites aventures érotiques rares, douces ou intenses, proches de la réalité ou fantasmes oniriques. L, l'amante, est soumise à M, son amant, qui va dévoiler ainsi au fil des pages 64 façons différentes de la dominer, tel un guide de la soumission féminine. La plupart des divertissements choisis par M entraînent L dans l'univers de l'humiliation et de l'exhibition en associant la soumission aux plaisirs charnels. Soumise devant des amis ou des inconnus, L vit avec un mélange de honte et de trouble sensuel ses péripéties qui la conduiront si souvent à la jouissance. Gilles de Saint-Avit utilise une langue très crue et très directe pour relater ces scènes explicites de soumission, dont certaines ne conviendront pas à un lectorat non averti. L'auteur a une plume efficace qui octroie beaucoup de féminité et de charme à L malgré (ou à cause de) la perversité des situations. Dans une veine parente d'"Histoire d'O", "L'amante" s'avère un recueil rythmé fort suggestif apte à séduire ses lectrices et ses lecteurs. Morceau choisi : "L dîne avec M. chez des amis. À la fin du repas, une domestique apporte divers sorbets. L'hôte s'adresse à ses invités : « Chacun des parfums sera destiné à chacune de nos amies ! Le cassis pour L et sa blondeur, la framboise pour S et ses cheveux clairs, la vanille et le citron pour nos deux brunes ! » Un peu intriguée, L est vite renseignée par leur hôte. « Chacun d'entre nous dégustera un sorbet dans une coupe intime ! » Il organise lui-même les couples et choisit L. Chaque femme doit s'allonger de dos sur la grande table ronde, en face de son partenaire. L s'installe devant lui. Imité par ses invités, il retrousse sa jupe sur son ventre et retire sa petite culotte." 138 pages.

Couple. Code BOO-261. Prix : 9 euros. Je commande

Bénédicte a 23 ans. Bénédicte est mariée avec Renaud. Bénédicte aime s'exhiber dans les clubs échangistes, elle aime être palpée et examinée par des hommes plus âgés. Bénédicte est avide de nouvelles expériences... alors Renaud la présente à Sir Edward : un Maître spécialiste du dressage d'épouses. La première fois, Bénédicte est dominée par Sir Edward devant Renaud. Au fil du temps, Renaud n'est plus présent aux séances où Sir Edward conduit Bénédicte vers une parfaite obéissance. Les mises à nues, les punitions, les récompenses, les humiliations séduisent chaque fois davantage Bénédicte. Récit d'un amour atypique, Couple décrit le parcours libertin d'un jeune couple français de ses débuts dans l'échangisme jusqu'à sa découverte de la véritable soumission érotique. L'auteur, Claude Sannois, met en exergue le plaisir d'une jeune Française d'aujourd'hui à s'exhiber impudiquement et à devenir l'esclave sexuelle d'un Maître. Avec un langage parfois très cru et une description sans tabous des situations, Couple marquera sans aucun doute ses lectrices en les interrogeant sur la fine frontière entre l'harmonie d'un couple et les désirs sensuels d'une femme épanouie. Autrement écrit, la question lancinante posée aux couples par cette relation sulfureuse est simplement : Bénédicte va t'elle trop loin ? Morceau choisi : "Bénédicte avança de trois pas, trop heureuse de se décoller de la cloison contre laquelle les regards la crucifiaient. Sir Edward lui souleva le menton et, lui parlant près du visage, les yeux dans les yeux : - Écoute-moi bien, ma petite... à partir de maintenant, tu n'as plus d'amour-propre ni de dignité ; tu vas être une chose, c'est entendu ? À partir de maintenant, et tant que tu seras dans cette chambre, il n'y aura plus de Bénédicte, ou de Mme X..., et même pas de petite pétasse susceptible d'inspirer la pitié. Il n'y aura que notre plaisir. Aussi tu vas obéir à tout ce qu'on te demandera, sans la moindre hésitation. Faute de quoi..." Éditions Blanche. 140 pages.

Osez... la fessée. Code BOO-286. Prix : 7 euros. Je commande

La fessée est l'une des pratiques sexuelles les plus anciennes et les plus répandues. Conseillée naguère pour réveiller les ardeurs masculines, la fessée demeure encore aujourd'hui la complice des ébats de nombreux couples. Sobrement et justement baptisé "Osez... la fessée", un guide existe enfin pour permettre, à toutes celles et à tous ceux qui le désirent, de découvrir les plaisirs exquis de la fessée. Italo Baccardi, l'auteur, est un authentique masseur-kinésithérapeute (ça ne s'invente pas !) qui vous prodigue des véritables conseils pour réussir vos fessées. Au gré des thèmes abordés, le guide vous propose de lire les témoignages de femmes adeptes de la fessée en rappelant, encore une fois, que la fessée reste un fantasme principalement féminin... même si une grande partie des fantasmeuses n'osent pas passer à l'acte : d'où l'utilité de ce guide ! Rassurez-vous, le guide aborde aussi la fessée administrée aux hommes par des fesseuses sévères même si, là encore, beaucoup d'hommes ont toujours du mal à avouer leurs fantasmes. Alors réjouissez-vous Mesdames et Messieurs, "Osez... la fessée" va vous aider à vivre vos désirs de fessée car ce guide s'avère un véritable mode d'emploi de la fessée. En premier lieu, le guide vous indique comment "suggérer" subtilement à un partenaire une soirée consacrée aux délices de la fessée. Ensuite, les conseils pleuvent sur vous comme les claques sur les fesses d'une demoiselle qui a fauté au siècle dernier : comment choisir et où acheter une tenue coquine pour la fessée, comment élaborer un scénario érotique autour de votre fessée, comment bien appliquer une fessée, quels instruments utiliser pour la fessée, quelles positions adopter pour les fessées... Le guide se termine par des adresses spécialisées et une bibliographie sur, évidemment, la fessée. Un dernier point important : des fesses vont certainement chauffer chez vous après la lecture de cet ouvrage fort suggestif, alors préparez dès maintenant vos flacons de lotion apaisante. 108 pages.

Montana. Code BOO-209. Prix : 18 euros. Je commande

Montana, Adrienne de son vrai prénom, n'est jamais allée dans le Montana. Elle s'est choisi ce pseudonyme pour communiquer sur internet et recruter ses amants d'un soir. Alors, souvent dans une chambre d'hôtel anonyme, Montana se livre à ses fantasmes de soumission avec des inconnus, se mettant nue devant eux, obéissant à leurs exigences sexuelles. "Montana", le roman de Maxim Jakubowski, décrit la spirale érotique vertigineuse d'Adrienne, toujours en quête de nouvelles sensations... jusqu'à s'exhiber nue devant une assemblée d'hommes et de femmes. Désirant vivre pleinement sa soumission, Adrienne s'abandonne à ses Maîtres et à ses Maîtresses : son pubis sera rasé, ses instants les plus intimes seront épiés, ses actes seront dirigés. Évoluant dans un univers proche d'"Histoire d'O", Adrienne concrétise enfin son désir le plus secret : elle donne du plaisir, avec ses mains, avec sa bouche, avec son sexe, à des hommes qui se pressent autour d'elle... pour elle. "Montana" raconte sept jours de l'existence d'une jeune femme qui a décidé d'être totalement soumise. L'homme tuteur n'existe pas dans ce récit car l'auteur retranscrit fidèlement la nouvelle émancipation sexuelle féminine - libérée complètement par le Minitel et par internet. Témoignage de notre époque, "Montana" est un livre sm important qui présente un visage tabou de la jeune femme moderne, prête à concrétiser ses pulsions charnelles grâce à la facilité d'un clic de souris, prête à se soumettre ou à dominer sans qu'un mâle soit à l'origine de son envie, bref, prête à être elle-même ! Maxim Jakubowski dépeint son héroïne avec une plume sensible et admirative : la jeune femme qui se détermine à être soumise s'avère aujourd'hui la véritable reine des jeux ! L'ouvrage, comporte également deux excellentes nouvelles de Maxim Jakubowski, "Baise à l'hôtel" et "Dans l'infini de Bourbon Street", où des couples dépassent leurs tabous... avec bonheur. Éditions Blanche. 284 pages.

Ulva esclave. Code BOO-269. Prix : 16 euros. Je commande

Honorant la demande de la soumise Ulva et de son Maître Gilles, un auteur français a rédigé la biographie de cette jeune soumise sous le titre volontairement explicite Ulva, esclave. Le livre Ulva, esclave décrit la vie d'Ulva depuis qu'elle est arrivée à Paris l'année de ses 25 ans. Ulva décide alors de travailler dans un peep-show. Ulva éprouve un certain plaisir à regarder les clients se masturber et éjaculer dans un mouchoir en papier ou dans leurs mains. Elle relate surtout qu'elle ressent déjà un étrange bonheur quand les clients lui demandent de prendre des poses humiliantes dans les cabines privées du peep-show. Ulva rencontre son premier amant français lors d'une séance de "pose nue" à domicile. L'homme entreprend de satisfaire la ferveur exhibitionniste d'Ulva, il l'emmène en voiture la nuit autour de Paris où il lui commande de se faire pénétrer devant des voyeurs qui se masturbent. Ulva découvre réellement les délicieux émois de la soumission en participant à des tournages de vidéos sadomasochistes. Ulva devient rapidement l'esclave de Gilles, son nouvel amant et Maître. Ulva obéit désormais à tous les ordres de Gilles, en s'exhibant impudiquement dans des lieux publics ou en offrant son corps aux hommes qu'il lui désigne. Le lecteur l'aura compris, la publication de Ulva, esclave procède du même plaisir exhibitionniste qui enflamme en permanence Ulva. D'ailleurs Ulva ne s'en cache jamais, elle adore que les hommes arborent une érection pour elle : soit en la regardant, soit en la touchant, soit en l'imaginant. L'auteur français de la biographie le concède, il n'a pas pu vérifier l'ensemble du récit d'Ulva mais Ulva, esclave demeure cependant un livre sm captivant qui raconte avec une langue spontanée l'itinéraire d'une jeune femme vers la soumission. Cru, instructif, palpitant ! Morceau choisi : "Tiré par cet index rivé dans son vagin, Ulva pénètre dans l'immense salle de séjour. Une pièce à la décoration rustique, simple mais luxueuse. - Ulva, ici, dans mon territoire, tu es ma pute, mon esclave à jouir, mon avaleuse de sperme particulière. Tu dois être perpétuellement nue et prête à me satisfaire jour et nuit, par tous tes orifices. Tu dois aussi être joyeuse d'accueillir mes amis des deux sexes. En échange de cette soumission totale, corps et âme, je te promets tes plus intenses orgasmes. Ils deviendront ta drogue... Es-tu d'accord, ou souhaites-tu partir pendant qu'il est encore temps ? Ulva regarde Gilles droit dans les yeux, l'air grave et déterminé : - Je reste, Maître, pour vous servir comme vous l'entendrez. - En es-tu vraiment sûre ? - Oui, Maître, gardez-moi auprès de vous, je vous en conjure, je serai votre putain docile, je vous le promets. Je suis une salope et j'aime ça... - Alors prouve-le-moi maintenant et suce ! Gilles a dégrafé son jean. Nu dessous, il effectue un rapide demi-tour et s'accroupit à demi, présentant à Ulva sa raie des fesses bien écartée, rasée autour de son œillet brunâtre plissé. - Tête mon cul à fond et montre-moi ce que tu sais faire, fais-moi bander. Malgré son dégoût évident pour cette épreuve inattendue, Ulva se met à genoux et plonge sa face dans le sillon fessier où elle incruste son nez. Langue en pointe, elle flatte avec application la rondelle de l'homme, pour faire acte d'allégeance à son dominateur."126 pages.

Début. Code BOO-140. Prix : 19 euros. Je commande

Françoise Allain a écrit "Début", le récit autobiographique de sa découverte du sadomasochisme. Publié aux Editions Bruno Leprince, "Début" est le témoignage véridique d'une plongée en apnée dans un océan de plaisir agité par les flux et les reflux de l'obéissance. L'auteur se dévoile totalement dans ce livre sincère où son cœur palpite d'un indicible amour. Au fil des jours, elle raconte comment l'homme qu'elle aime devient son directeur, son professeur, son Maître, mot qu'elle prononce toujours difficilement ne voulant dépendre de personne... et pourtant, elle lui obéira aveuglément. Morceau choisi : "Il repousse le revers du chemisier, dévoilant ma poitrine libre de soutien-gorge et pince le mamelon qui s'érige instantanément. Je baisse la tête, essaie de contenir la chaleur qui commence à monter dans mes reins. Il pose une main sur ma cuisse. - Écarte les cuisses, montre ce que tu es, dit-il, tout en remontant la jupe qui cache déjà à peine le haut de mes bas. J'obéis, rouge de confusion, laisse la main remonter jusqu'au haut de mes cuisses. Les jarretelles apparaissent, au-dessus de la dentelle, accentuant le contraste de ma peau blanche avant de laisser apparaître mon sexe glabre, entièrement épilé. Sous le regard de son ami, sa main glisse entre les lèvres de mon con, se saisit des anneaux scellés dans la chair des petites lèvres, ce qui suscite un sourire approbateur de leur visiteur. - Je vois qu'elle est bien dressée ! J'espère que le reste est en rapport ! - N'aie crainte, son éducation est encore imparfaite, mais elle est en bonne voie. Je suis envahie par un sentiment trouble, agréable et en même temps dérangeant. Je me rends compte que j'aime cette impression d'être évaluée telle une bête de concours, dans la peau de la call-girl ou geisha destinée à distraire l'invité de marque. Est-ce la peur d'être découverte, ainsi dénudée, impudique, par l'un des convives d'une table voisine qui jette en moi ce trouble si délicieux ?". 286 pages. Lisez l'interview de Françoise Allain dans Dresseuse numéro 19.

Osez... les jeux érotiques. Code BOO-232. Prix : 7 euros. Je commande

Les jeux de l'amour peuvent fort bien se passer d'accessoires ou de rituels, mais pourquoi s'en priver ? Pourquoi ne pas pimenter ses soirées, en couples ou entre amis, en s'adonnant aux jeux de société érotiques ? "Osez... les jeux érotiques" est justement un guide qui propose des dizaines de jeux érotiques. L'auteur, Dominique Saint-Lambert, se sert des objets de jeux les plus banals (et les moins onéreux) tels que les cartes, les dés, les dominos, les damiers (ou encore des simples questions-réponses) pour les transformer en complices des ébats coquins. Les jeux proposés dans le guide s'avèrent très nombreux et très variés, rapidement et aisément réalisables : il suffit d'ouvrir le livre pour commencer à s'amuser (et à perdre ses vêtements). "Osez... les jeux érotiques" s'affirme alors comme un excellent prétexte (et prélude) pour enfin concrétiser des divertissements sensuels dont vous avez toujours rêvé. Oserez-vous faire une petite partie de jeu de l'oie... au risque de vraiment y laisser votre culotte ? Morceau choisi extrait d'une feuille de pénalité : "Le perdant doit une soirée spéciale tendresse au gagnant. Le perdant fera le ménage entièrement nu. Le perdant vient à genoux demander une sérieuse fessée selon les prescriptions du gagnant. Le perdant sera l'esclave sexuel du vainqueur pour le reste de la soirée. Le perdant doit une soirée spéciale exotique avec repas et danses. Le perdant sera attaché et tourmenté par son vainqueur". 128 pages.

Extrêmes sévices. Code BOO-270. Prix : 6,70 euros. Je commande

Sans argent, Karina a pourtant besoin d'une chambre pour suivre ses cours à l'université d'Aix-en-Provence. Karina se connecte sur un adorable Minitel où elle propose ses compétences de femme de ménage à l'attention d'un couple "cultivé et autoritaire". Karina est engagée par Maximilien et Laurence qui vont, selon ses souhaits, faire d'elle une petite soubrette soumise. La jeune étudiante de dix-neuf ans découvre rapidement la véritable soumission, le plaisir des humiliations, les exhibitions devant les amis du couple, les punitions et les récompenses sexuelles... pour son plus grand bonheur. Avec Extrêmes sévices, Franval met en scène une étudiante jumelle de celles qui fréquentent régulièrement les messageries roses des services Minitel. Si les échanges Minitel avec des étudiantes aboutissent trop souvent à des simples conversations téléphoniques ou à des rendez-vous sans suite dans les cafés, il arrive parfois que certaines étudiantes décident de concrétiser leurs fantasmes de soumission. Ces brèves rencontres se limitent la plupart du temps à des fellations et à des masturbations agrémentées de petites exhibitions, bien évidemment loin de la série d'aventures érotiques que connaît l'héroïne d'Extrêmes sévices. Toutefois, en faisant vivre à une seule et même étudiante, Karina, une multitude de fantasmes d'obéissance habituellement prisés par les vraies étudiantes, Franval a le mérite de dévoiler quelques-uns des désirs les plus secrets des jolies adeptes du Minitel. Malgré un style très direct, Franval préserve la féminité de la mignonne Karina pour mieux faire partager au lectorat le trouble des jeunes étudiantes sm éprises de soumission. Pervers mais délicat. Morceau choisi : "Elle se leva et marcha paresseusement jusqu'à la maison pour voir où en était sa jeune soubrette. - Pourquoi t'es-tu rhabillée ? interrogea-t-elle, d'un ton froid. - C'est juste mon maillot de bain, plaida Karina avec un sourire gêné. - Il faut décidément tout t'expliquer ! Mets-toi nue ! La jeune femme appuya précautionneusement son balai-brosse contre le mur et baissa son maillot. La maison était fraîche, et elle frissonna, la peau hérissée de chair de poule. Tremblant presque, elle croisa les bras dans son dos. - Je te trouve bien niaise, dans cette attitude, remarqua Laurence. Continue donc de travailler. - J'avais justement fini la cuisine. - Il reste le salon, que je sache. - Oui, Madame, murmura Karina. Tout de suite. - Quelle pointure chausses-tu ? - 36, Madame. Laurence ôta ses escarpins. - Ça tombe à merveille ! Tiens. Mets-les et occupe-toi de laver le salon. Sans traîner. Karina obéit aussitôt, et reprit son balai. Perchée, totalement nue, sur ses talons, elle éprouvait un trouble proche du vertige. Tout en accomplissant sa tâche, elle réfléchissait à son sort. " Partir ? Je suis sûre que je pourrais le décider et le faire. Mais est-ce si incroyablement anormal d'aimer le plaisir que je ressens à cet instant ? " Des pensées contradictoires se heurtaient dans son esprit, faisant naître des images confuses. L'idée d'un défi, qu'elle voulait relever, s'était installée en elle." 124 pages.

Anthologie de la fessée et de la flagellation. Code BOO-197. Prix : 9 euros. Je commande

L'"Anthologie de la fessée et de la flagellation" est rééditée en format de poche... économique : nul doute que les lectrices les moins fortunées trouveront enfin les moyens de satisfaire leur curiosité. Effectivement, hors des sentiers de la vulgarité, l'érudite "Anthologie de la fessée et de la flagellation" s'adresse aussi bien à un public féminin qu'à un public masculin. Après une importante introduction, résumant l'histoire de la fessée depuis l'Antiquité, l'auteur, Alexandre Dupouy, invite à (re)découvrir une variété de fantaisies flagellomaniaques via une étude de la littérature du XVIIe siècle à nos jours. Des écrivains majeurs, mais aussi des anonymes délicieux, sont réunis dans cette anthologie où le plaisir de lire des exquis extraits de leurs œuvres le disputera à l'érotisme des situations. La fessée provoque de toute évidence un trouble plaisir érotique, comme le souligne Jean-Jacques Rousseau "J'avais trouvé dans la douleur, dans la honte même, un mélange de sensualité qui m'avait laissé plus de désir que de crainte". Le recueil s'avère d'ailleurs particulièrement instructif car il retranscrit avec impartialité les extases des fesses féminines fessées et le bonheur des femmes s'adonnant à la fessée des hommes. Ainsi l'"Anthologie de la fessée et de la flagellation" permet de savourer les fessées décrites par de nombreux auteurs dont Guillaume Apollinaire, Anaïs Nin, Léopold von Sacher-Masoch, Mirabeau, Musset, Pauline Réage... 382 pages, chez tous les bons libraires.

La ceinture. Code BOO-202. Prix : 15 euros. Je commande

Célibataire, Christiane estime qu'elle se masturbe trop souvent en négligeant son travail. Christiane décide alors de porter une ceinture de chasteté. Bien que cadenassé, le désir de Christiane reste présent et insatiable. Christiane rencontre des inconnus, elle les contentera avec ses mains et avec sa bouche, elle s'exhibera devant eux, elle obéira à leurs volontés. Nathalie Ours, l'auteur, décrit à la seconde personne toutes les sensations procurées par une ceinture de chasteté, ses plaisirs et ses contraintes. Avec un langage très cru, Nathalie Ours raconte comment, jour après jour, une femme étreinte par sa ceinture de chasteté éprouve un besoin grandissant d'être regardée et de ressentir du plaisir. "La ceinture" est un roman sans détour qui analyse charnellement la concrétisation d'un fantasme : porter une ceinture de chasteté. 238 pages, chez tous les bons libraires.

Pattaya beach. Code BOO-239. Prix : 19,50 euros. Je commande

Dès les premières pages de Pattaya Beach, on a l'impression d'avoir bu un shooter d'alcool trop fort qui nous entraîne dans le tourbillon d'une nuit sans fin au cœur de Pattaya... au bras d'une fille de bar. Pattaya Beach immerge le lecteur dans les ruelles de Pattaya, des bars à hôtesses aux salons de massage, des gogo dancings aux simples prostituées free lance des clubs. Le sexe, l'argent, l'alcool semblent être les seuls moteurs de la "cité-bordel" sur les rivages brûlants du golfe de Thaïlande. Pattaya Beach raconte l'histoire de la métamorphose d'un homme qui se découvre au gré de son parcours des plaisirs tarifés. Tel un reportage en caméra caché, livrant des images brutes non censurées, Pattaya Beach détaille méticuleusement le fonctionnement de chaque lieu et les prix des diverses pratiques sexuelles proposées ainsi que les techniques des entraîneuses pour attirer le client ou pour provoquer son érection. Roman écrit à la première personne, autobiographie rédigée comme une invitation vers un nirvana sulfureux, Pattaya Beach fait partager au lecteur les expériences de son personnage principal : première putain, premier bier bar, premières spécialités, premier aquarium... L'auteur, Franck Poupart, dresse un portrait incisif d'un monde bien réel à quelques heures d'avion de la France. Pattaya Beach est un roman quasi-journalistique qui, sans tabous, lève le voile sur l'univers de la chair à Pattaya. 326 pages fulgurantes. Morceau choisi : "Six cents bahts le massage, soit quinze dollars. Les extras étaient à négocier avec la fille mais fallait compter en gros mille bahts de plus soit tout de même quarante dollars pour le service complet. Je comprenais mieux les portes opaques et le luxe du bâtiment. Les tarifs étaient nettement plus élevés que les treize dollars du short time des filles de bar. - Oy, tu es très belle, mais je veux juste le massage, pas l'amour. Son visage froid se ferma comme une guillotine. Apparemment, juste le body, ça l'intéressait moyen. Je voulais éviter de la vexer insistant sur le fait qu'elle était " suay maak maak " et que j'aurais bien voulu mais que sortant d'un " boum thing "... Le manager nous guida vers la caisse puis vers un ascenseur qui conduisait aux chambres." Éditions Blanche. 326 pages.

Banquette, placard, comptoir et autres lieux. Code BOO-186. Prix : 9 euros. Je commande

35 courtes nouvelles constituent ce recueil. Les bois, le bureau, la station-service, l'avion, autant de lieux qui sont l'occasion pour la narratrice d'évoquer ses souvenirs charnels et ses expériences amoureuses. Avec une belle franchise, la mystérieuse W. Saint-Hilaire ouvre son carnet intime. La jeune auteure dépeint dans un style vif et impudique les pulsions de son corps : elle annonce ainsi à un homme mûr qu'elle va lui offrir une fellation uniquement pour assouvir son fantasme ! W. Saint-Hilaire est une Québécoise de trente ans, elle emploie donc les particularités linguistiques du québécois qui sont absolument charmantes et donnent beaucoup de vie à ses récits : on croirait entendre son accent ! “Banquette, placard, comptoir et autres lieux” est un vrai bonheur, un florilège de désirs féminins en toute simplicité, une succession de (ré)jouissances que vous lirez avec le sourire sur une banquette, dans un placard, au comptoir... 136 pages.

Fantasmes aux enchères. Code BOO-183. Prix : 16 euros. Je commande

Joy, jeune femme récemment initiée aux plaisirs de l'amour par son insatiable amie Carine, s'est installée dans un petit appartement de charme sous les toits de Paris. Joy devient rapidement l'amante de son exigeante propriétaire. L'entraînant dans un monde dédié à l'assouvissement des sens, la propriétaire franchira les barrières de l'inconcevable en mettant les charmes de Joy aux enchères. Écrit par Quentin Cooper, “Fantasmes aux enchères” est un roman érotique au rythme trépidant. En privilégiant les relations explicites aux situations cérébrales, l'auteur laisse bien peu de repos à ses héroïnes. 164 pages.

L'arrière-boutique. Code BOO-184. Prix : 16 euros. Je commande

À la fin de sa vie, un antiquaire livre les secrets de son arrière-boutique. Il révèle les aventures érotiques qu'il a connues dans l'arrière-boutique de son magasin, souvent avec des clientes, parfois avec des étudiantes en histoire de l'art. Le huis-clos de l'arrière-boutique est propice à créer une tension sensuelle, les étudiantes jouant avec leurs tenues et leurs attitudes pour focaliser l'attention de l'antiquaire. L'auteur raconte comment l'une d'elles avait pris l'habitude de porter une jupe courte et de s'asseoir jambes décroisées en offrant une vue vers son fond de culotte : l'étudiante se nourrissait jour après jour d'observer une bosse se former dans le pantalon de l'antiquaire. Ainsi Nicolas Marssac dépeint dans L'arrière-boutique un univers élégant et feutré... où naissent pourtant d'étranges désirs. Morceau choisi : "D'abord pétrifié, je me relevais et remis un peu d'ordre dans ma tenue, avant d'entrer dans l'arrière-boutique. Sophie leva les yeux vers moi. Son visage, transformé par la luxure, n'était plus celui de la jeune intellectuelle quelque peu perverse auquel j'étais habitué, mais celui d'une femme qui brûlait de l'ardent désir de jouir de son corps. - Assieds-toi et regarde-moi. Je veux te voir te branler, moi aussi. La crudité du langage, surtout venant de Sophie, fut un stimulant supplémentaire à ma lubricité. Je m'assis à ma table, dégrafais largement mon pantalon et ouvris mon slip, pour mieux libérer ma tige et ses attributs. Mon sexe avait repris sa roideur et se dressait sur mon ventre. Je décalottais lentement le gland, en regardant ma jeune disciple, tandis que l'autre main massait les testicules. J'imprimai un mouvement de pompe à la main qui enveloppait la hampe, de plus en plus vite, et le gland, devenu rouge, se mit à luire. Sophie, les yeux rivés sur mes mouvements, avait recommencé à se caresser, des deux mains, et je voyais un peu de sa liqueur d'amour sourdre de sa jolie moule. Cette masturbation voyeuse était un stimulant aussi puissant que si nous nous étions caressés mutuellement. Bientôt, nos mouvements s'accélérèrent, nos respirations devinrent oppressées. Sophie se mit à gémir, en cadence, d'abord doucement puis de plus en plus fort. Soudain elle cria, brièvement, son corps entier se tendit, le mouvement de sa main sur son clitoris devenu très rapide. Devant ce spectacle insoutenable de lubricité, je jouis, répandant mon sperme sur le sol." Éditions Blanche. 164 pages.

Toutes ces belles passantes. Code BOO-185. Prix : 17 euros. Je commande

Jean-Pierre Andrevon décrit ces belles passantes que les hommes croisent et qui agrémentent leur vie amoureuse. Sans fausse pudeur, l'auteur évoque les premiers émois, les premières caresses, la première prostituée... et les premiers morpions, et les femmes suivantes, et les autres prostituées, et les expériences sexuelles heureuses ou malheureuses. Toutes ces belles passantes est une succession de récits alertes débordants de lucidité et d'autodérision. Avec une écriture limpide, Jean-Pierre Andrevon remet les hommes à leur place en s'amusant à souligner l'immense décalage entre leur femme fantasmée et la réalité. Bref, Toutes ces belles passantes s'avère un florilège d'anecdotes cochonnes, mignonnes, délassantes, parfois surprenantes mais finalement souvent joyeuses. Morceau choisi : "Je me souviens m'être masturbé à travers mon pantalon, dans le train pour Paris, en face d'une splendide femme blonde, une étrangère, Américaine je pense, tout droit sortie du magasin aux accessoires d'une production hollywoodienne. Cette femme portait une courte jupe de cuir noir très haut relevée sur des cuisses magnifiques et nues qu'elle ne cessait de croiser et de décroiser à l'aplomb de ma vue. Si l'expression dévorer des yeux a un sens, il faut l'appliquer à mon appétit vorace pour cette impassible autant qu'inaccessible beauté de cinéma dont, je m'en souviens très bien, je n'ai pu une seule fois accrocher le regard de tout le voyage. Alors, aux deux-tiers du parcours, pour que mon corps et mon esprit me foutent la paix, je me suis décidé et je l'ai fait. C'est beaucoup plus facile et beaucoup plus discret que les non-pratiquants ne pourraient l'imaginer. .../... Une minime rotation de quelques millimètres sur la languette de peau ultra-sensible qui attache le prépuce à la calotte - et le tour est joué, en moins d'une minute on s'arrose le bide à l'intérieur du slip. Vous ne vous en doutiez pas, Mesdames ? Vous savez, maintenant. Lorsque le train a stoppé au terminus de la gare de Lyon, au moment précis où elle dépliait son mètre quatre-vingts pour arracher, avec un crissement indicible, son cul de star à la banquette, l'Américaine a, pour la première et seule fois, planté ses yeux turquoise dans les miens. L'affaire de deux secondes, pas plus. Dans ce bref échange empli d'une hautaine et glaciale ironie, j'ai cru lire qu'elle savait, et qu'elle tenait à me le faire savoir." 214 pages.

La lanterne d'Éros. Code BOO-135. Prix : 18 euros. Je commande

Anne-Marie Clément travaille dans le cinéma. "La lanterne d'Éros" est son premier roman. Il est construit comme un film, par petites scènes. Un homme va contempler sa soumission à une femme, et la soumission d'une femme à un homme, dans un perpétuel basculement des rôles. Anne-Marie Clément met en mots la dualité de notre identité, féminine ou masculine, dominante ou soumise. L'auteur décrit avec une lente implacabilité le parcours érotique que peut faire suivre une femme à un homme pour qu'il devienne "femelle", elle détaille les étapes du processus qui conduira le mâle à cambrer ses fesses pour désirer être pris par une femme. Qui mieux qu'une femme pouvait ainsi conter le plaisir expert de la femme lorsqu'elle est l'initiatrice d'un tel épanouissement mutuel ? Un beau récit sur l'irrémédiabilité du désir. 190 pages.

Deux mille hommes. Code BOO-122. Prix : 15 euros. Je commande

Estelle est une jeune femme qui refuse toutes contraintes à ses désirs et pulsions sexuelles. Interviewée par Gabriel Lange, Estelle raconte avec tendresse et impudeur ce qui la pousse à offrir son corps aux hommes. Sa première soirée échangiste à dix-neuf ans lorsqu'elle a fait l'amour avec plusieurs couples âgés, son exhibition dans un restaurant quand elle a discrètement retiré sa culotte pour la poser sur la table, sa demande faite à un ami de la sodomiser, les jeux de mains sous sa jupe avec un passager du métro, le soir où elle a introduit un plug dans l'anus d'un soumis devant un miroir sans tain ne sont que quelques-unes des aventures sexuelles d'Estelle, provoquées ou subies, qui assouvissent son besoin d'hommes. Sans concession, sans alibi culturel ou psychologique, Deux mille hommes est le récit brut des plaisirs d'une femme ayant décidé de vivre pleinement sa sexualité en s'affranchissant des tabous et des entraves morales. Morceau choisi : "J'étais effondrée, la tête baissée. " Mettez-vous à quatre pattes ! " m'ordonna-t-il. Je me suis exécutée sans broncher. Il m'a demandé de m'appuyer sur son fauteuil. Il a fait pression sur mes reins pour que je me cambre encore. " Plus encore ! " exigea-t-il. Il a relevé ma jupe et découvert mes fesses, entre lesquelles se dissimulait un fin string noir. " Quel cul ! ". Il a apprécié, je crois. " Un cul de salope ! De ces salopes qui se font enculer par le premier venu, par tous les types un peu bien membrés, non ? ". J'ai frémi à l'entendre. Des grossièretés. Pourquoi tout cela m'était-il si plaisant ? Pourquoi prenais-je du plaisir à me faire ainsi insulter ? D'où vient ce plaisir, ce plaisir d'être humilié ? Il m'a introduit deux doigts dans le cul. Il me les a enfoncés profondément sans ménagement. J'ai gémi. Son audace." 208 pages.

Fantasmes de femmes. Code BOO-121. Prix : 15 euros. Je commande

Recueil de nouvelles érotiques de femmes, "Fantasmes de femmes" est un ouvrage absolument délectable. Sous forme de récit autobiographique ou de fable, les quinze femmes qui ont contribué au livre décrivent sans tabous leurs envies les plus secrètes : dominer son amant en le dirigeant avec une laisse autour du cou, faire adorer une petite culotte portée, se transformer en cadeau d'anniversaire, susciter le désir d'un homme à la piscine, faire l'amour avec un inconnu rencontré dans un café, attendre à quatre pattes nue et cambrée sur le lit d'une chambre d'hôtel, s'offrir à dix marins dans les cales d'un cargo, s'exhiber dans le compartiment d'un train... Avec des auteurs telles que Marie Boman, Sophie Cadalen, Laure Clergerie, Hélène Girard, Caroline Lamarche, Sandrine Le Coustumer, Agnès Pareyre ou Julie Saget, "Fantasmes de femmes" s'affirme comme une ode à l'imaginaire érotique féminin. Rafraîchissant. 190 pages.

L'évangile d'Éros. Code BOO-5. Prix : 15 euro. Je commande

Laurence vient de perdre son initiateur aux jeux cruels de l'amour. Pour le retrouver et le perpétuer, elle va séduire sa maîtresse androgyne, Marie-Agnès, et la conduire au supplice. Dans ce texte aux forts accents sadiens, aux confins de l'excès, Florence Dugas, après son récit autobiographique "Dolorosa Soror", continue son exploration des zones troubles de l'âme. La soumission d'une Française à une autre Française atteint ici son paroxysme dans un déchaînement continuel d'une passion sadomasochiste lesbienne vécue 24 heures sur 24 ! Un livre exhaltant. Ce récit très intense ne convient pas aux personnes non averties. Morceau choisi : "Celle des soirées de cinéma ou de théâtre (combien de fois, juste au sortir d'un film, il lui est arrivé de m'entraîner dans l'ombre d'une porte cochère, et de s'y soulager dans ma bouche), pleine d'émotions, arrière-goût de fruits rouges, comme on dit dans les guides - un saumur-champigny peut-être." 236 pages.

Diabolique Frieda. Code BOO-153. Prix : 9 euros. Je commande

Texte clandestin rare, publié à la fin des années 50, “Diabolique Frieda” est un récit d'initiation fort explicite. Frieda est une jeune Autrichienne ayant décidé de venir vivre à Paris. Au gré de ses rencontres amoureuses, elle découvre peu à peu les plaisirs ambigus de la domination et de la soumission. “Diabolique Frieda” est le roman typique de ces écrits érotiques distribués sous le manteau qui ont fleuri dans l'immédiat après-guerre. Comme à l'accoutumé au sein de ce genre, la précision descriptive de certaines situations suggère qu'une part des événements relatés est autobiographique : une hypothèse souvent confirmée par l'anonymat de l'auteur. La jolie Frieda a t'elle réellement existé ? À vous de juger ! 140 pages.

Lettres à un Monsieur. Code BOO-220. Prix : 16,50 euros. Je commande

La narratrice tombe amoureuse d'un homme... impuissant. Alors, patiemment, elle va envoyer des lettres enflammées à celui qu'elle appelle Monsieur. Pour la femme qui les écrit, ces lettres doivent être tel un cours d'éducation sexuelle afin que leur destinataire reprenne confiance et qu'enfin renaisse sa virilité. Dans chaque nouvelle lettre, la femme amoureuse révèle au Monsieur des secrets sur ses plaisirs : en lui confiant ses expériences charnelles, en lui décrivant les sources de son excitation, en lui narrant ses troubles. "Lettres à un Monsieur" rassemble l'ensemble des lettres sous la forme d'un roman extrêmement sensible mais aussi extraordinairement érotique. Sylvie Bourgeois, l'auteur, livre au cœur de ces lettres l'âme d'une femme et, sans aucun doute, un grand témoignage d'humanité. Morceau choisi : "Mes amants sont alors uniquement destinés à mes égoïstes jouissances. Ils doivent caresser mon sexe pendant des heures dans tous les lieux et je refuse de faire l'amour. Mon aplomb les envoûte. Ma certitude leur susurre : « Caresse mon sexe. Concentre-toi sur lui. Surtout ne me dis rien. N'exige rien. Caresse-moi. Fais-moi jouir. Prépare mon sexe pour l'amour qu'on ne fera pas aujourd'hui ». Mes amants étaient fascinés d'être dépossédés de leur rôle d'homme. Eux, les hommes virils et respectés qui ont toujours utilisé leur puissance pour séduire les femmes, pensaient avoir trouvé en moi leur double. Une lutte de désir s'engageait : me faire l'amour, je ne voulais qu'être caressée. Tout leur prendre. Ne rien leur donner." 192 pages.